A l’adolescence, influencé par une culture hip-hop naissante, celui que ses potes surnomment Gregos commence par s’exprimer sur les murs parisiens. Mais c’est au détour d’un voyage professionnel en Grèce, à la fin des années 90, que l’artiste se prend de passion pour la sculpture. Il faudra attendre 2006 pour voir naître le premier moule de son visage, tout blanc, qu’il colle dans une rue de Paris… Ses “passe-muraille” sont aujourd’hui présents dans de nombreuses villes, de New York à Madrid en passant par Londres ou Amsterdam. Au total, on compte plus de 1500 visages collés à travers le monde ! Avide d’expériences, Gregos ne cesse de travailler de nouvelles matières (bronze, cristal, chrome…) pour apporter une autre dimension à sa démarche.